le célèbre dessin de Caran d'Ache revu au sujet de l'homéopathieJe reconnais qu’il était facile et surtout particulièrement tentant de détourner le célébrissime dessin de Caran d’Ache au bon temps de l’affaire Dreyfus alors qu’aujourd’hui, il suffit de revendiquer de faire appel à l’homéopathie pour déclencher, aussitôt, une querelle aussi virulente entre les “pour” et les “contre”.

Combien de fois me suis-je offert le plaisir assez pervers, j’en conviens, de gâcher un dîner à seule fin de compter les points, en pur spectateur, sans plus avoir besoin de prendre part à une discussion que je m’étais contenté de lancer…

Poursuivre des recherches en homéopathie qui semblent prometteuses, sans aucun doute. Je n’y ai pas grand mérite car il est pour le moins surprenant, voire totalement incohérent, que la Commission Européenne, dans de nombreux textes (7, 8, 9, 10, 11), préconise en première intention le recours à cette approche afin de garantir élevage et culture bio en évitant les antibiotiques, tandis que la HAS et Madame Buzyn estiment, quant à elles, qu’il ne s’agirait que d’un placebo chez l’humain… Reconnaissons que cette démarche semble pour le moins étrange, d’autant que, tant chez Boiron (5) que chez Schmidt Nagel (6), les médicaments homéopathiques vétérinaires sont disponibles et paraissent efficaces à ceux qui y ont recours, sans que telle ou telle organisation de défense des animaux ni même notre Brigitte Bardot nationale, ne semblent y voir négligence ou, pire, maltraitance. Ce qui n’est plus remboursé, pour nous et avec le discrédit thérapeutique voire le charlatanisme que cela pourrait laisser sous-entendre, devient frais généraux pour ceux qui nous nourrissent. Comme c’est bizarre !
Il est pour le moins surprenant, voire totalement incohérent, que la Commission Européenne, dans de nombreux textes (7, 8, 9, 10, 11), préconise en première intention le recours à cette approche afin de garantir élevage et culture bio en évitant les antibiotiques, tandis que la HAS et Madame Buzyn estiment, quant à elles, qu’il ne s’agirait que d’un placebo chez l’humain…
Reconnaissons que cette démarche semble pour le moins étrange, d’autant que, tant chez Boiron (5) que chez Schmidt Nagel (6), les médicaments homéopathiques vétérinaires sont disponibles et paraissent efficaces à ceux qui y ont recours, sans que telle ou telle organisation de défense des animaux ni même notre Brigitte Bardot nationale, ne semblent y voir négligence ou, pire, maltraitance. Ce qui n’est plus remboursé, pour nous et avec le discrédit thérapeutique voire le charlatanisme que cela pourrait laisser sous-entendre, devient frais généraux pour ceux qui nous nourrissent.
Comme c’est bizarre !

5) – Produits vétérinaires Boiron
6) – Produits vétérinaires Schmidt Nagel
7) – Bio en Hauts de France (paragraphe santé animale)
8) – Europe élevage bio et homéopathie agriculture (extrait)
9) – Actu Rurale en Nouvelle-Aquitaine
10) – Homéopathie, aromathérapie (in Radiofrance)
11) – Bioactualités (publication Suisse, format PDF)

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